Il est un exercice périlleux dans lequel le Centre national de la cinématographie (CNC) a été lancé: changer ce que le film s'appelle la chronologie des médias. Dans une note de sept pages, envoyé à 19 professionnels en Décembre 2008, il a proposé de raccourcir le délai entre la sortie des films dans les salles de cinéma et de leur exploitation en DVD, vidéo à la demande (VOD) et diffusée à la télévision, sans affecter l'équilibre général.
Le système français de la distribution de films est complexe. Pour permettre aux différents médias d'exister, il a offert à chacune des gammes opératoires. Tout d'abord, bien sûr, la sortie en salles. Ensuite, chaque média s'est vu offrir une «fenêtre» de diffusion. DVD, vidéo à la demande, télévision payante et de télévision à accès libre et partagé les trois premières années de la vie d'un film.
Au cours des dernières années, deux phénomènes sont venus déstabiliser le présent. La piraterie, en premier lieu. Le gouvernement a donc présenté un projet de loi contre le téléchargement illégal. Mais le texte "Création et Internet" exige des professionnels de promouvoir l'offre légale de téléchargement et de diffusion sur le Web. Aujourd'hui, il faut trente-trois semaines après la sortie d'un cinéma à profiter de la VOD.
Un autre phénomène: le déclin du film offre sur les chaînes gratuites. "Entre 2003 et 2007, le nombre de nouveaux films (publié moins de quatre ans) a diffusé sur l'air a diminué de 15%», explique le CNC.
Après avoir traité de l'industrie professionnelle d'un questionnaire, le CNC est un ensemble de propositions. Alors que le "naturel" ou "sur demande", dans "vente" ou "location", la vidéo continue de la vidéo, le CNC a encouragés à allouer un guichet unique à tous ces modes de fonctionnement: ouverture de quatre mois après la libération de le film. En cas de succès spectaculaires dans les salles, les opérateurs de la vidéo pourraient être obligés d'attendre un peu plus longtemps.
Le CNC demande ensuite à raccourcir de 2 ou 3 mois le délai d'ouverture de la fenêtre de télévision payante (Canal+ diffuse aujourd'hui après douze mois) et de 4 à 5 mois celui des chaînes gratuites coproductrices d'un film (aujourd'hui à vingt-quatre mois). Quant aux chaînes non productrices, le délai de trente-six mois serait aussi diminué.
Le système français de la distribution de films est complexe. Pour permettre aux différents médias d'exister, il a offert à chacune des gammes opératoires. Tout d'abord, bien sûr, la sortie en salles. Ensuite, chaque média s'est vu offrir une «fenêtre» de diffusion. DVD, vidéo à la demande, télévision payante et de télévision à accès libre et partagé les trois premières années de la vie d'un film.
Au cours des dernières années, deux phénomènes sont venus déstabiliser le présent. La piraterie, en premier lieu. Le gouvernement a donc présenté un projet de loi contre le téléchargement illégal. Mais le texte "Création et Internet" exige des professionnels de promouvoir l'offre légale de téléchargement et de diffusion sur le Web. Aujourd'hui, il faut trente-trois semaines après la sortie d'un cinéma à profiter de la VOD.
Un autre phénomène: le déclin du film offre sur les chaînes gratuites. "Entre 2003 et 2007, le nombre de nouveaux films (publié moins de quatre ans) a diffusé sur l'air a diminué de 15%», explique le CNC.
Après avoir traité de l'industrie professionnelle d'un questionnaire, le CNC est un ensemble de propositions. Alors que le "naturel" ou "sur demande", dans "vente" ou "location", la vidéo continue de la vidéo, le CNC a encouragés à allouer un guichet unique à tous ces modes de fonctionnement: ouverture de quatre mois après la libération de le film. En cas de succès spectaculaires dans les salles, les opérateurs de la vidéo pourraient être obligés d'attendre un peu plus longtemps.
Le CNC demande ensuite à raccourcir de 2 ou 3 mois le délai d'ouverture de la fenêtre de télévision payante (Canal+ diffuse aujourd'hui après douze mois) et de 4 à 5 mois celui des chaînes gratuites coproductrices d'un film (aujourd'hui à vingt-quatre mois). Quant aux chaînes non productrices, le délai de trente-six mois serait aussi diminué.
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